« Le numéro 1 en France, c’est Lucas Chevalier (LOSC) » estime Thierry Barnerat, conseiller de Thibaut Courtois | OneFootball

Héros de la dernière victoire empochée par le LOSC à Toulouse (1-2), Lucas Chevalier a reçu bon nombre de louanges. Quelques semaines plus tôt, Thierry Barnerat, conseiller de Thibaut Courtois, qui faisait de lui le numéro 1 en France.

Nommé Homme du Match à Toulouse à l’issue du succès lillois (1-2), Lucas Chevalier prenait la tête du classement des gardiens en Ligue 1 et insistait sur le fait qu’il devait lui aussi hausser son niveau pour permettre au LOSC d’atteindre ses objectifs malgré l’âpreté du sprint final : « Je n’ai pas beaucoup de choses à faire, mais si Lille veut accrocher quelque chose en fin de saison, il faut aussi que je performe à un moment donné. […] C’est mon rôle », clamait-il en zone mixte dans les entrailles du Stadium.

C’est le numéro 1

De son côté, Bruno Genesio était dithyrambique, trouvant même que son gardien « n’était pas encore reconnu à sa juste valeur » dans la sphère footballistique française. Pour autant, il y a quelques semaines, Lucas Chevalier faisait l’objet de vifs compliments, et pas de n’importe qui.

De passage sur les ondes de la radio RMC, Thierry Barnerat, conseiller de Thibaut Courtois et formateur de gardiens auprès de la FIFA, suit attentivement les prestations du natif de Calais : « En France, le numéro 1 se nomme Lucas Chevalier. C’est indiscutable, lançait-il avec aplomb. Il est au-dessus de tout le monde, et bien loin. C’est le meilleur du championnat de France, en Ligue 1. Mais attention, il est déjà très, très proche de (Mike) Maignan. Il manque encore d’expérience, mais Lucas Chevalier est bien plus juste dans ses positions. Et puis, il est beaucoup plus complet », jugeait-il ainsi. Le dernier rempart du LOSC, c’est du costaud.

Chez les Bleus, le numéro 1 reste Mike Maignan, mais « on a des garanties », se satisfaisait pleinement Didier Deschamps lors du dernier rassemblement, citant ensuite Lucas Chevalier et Brice Samba. Aux côtés de ces portiers expérimentés, ainsi que chez les Dogues, il ne peut que poursuivre sa progression. « Lucas Chevalier pousse, et c’est très bien, qu’il continue de pousser », s’amusait encore le sélectionneur de l’équipe de France, dans des paroles lourdes de sens.