Jean-Louis Gasset, le break de trop | OneFootball

La métaphore tennistique aurait pu être plus valorisante. Mais malheureusement pour Jean-Louis Gasset, qui qualifiait la venue des Stéphanois comme la première balle de match pour la survie du MHSC, l’ASSE aura convertie la première offrande en forme de dernier clou sur le cercueil Pailladin.

En maintenant sa confiance aux mêmes supposés cadres, sans jamais réellement lancé des jeunes pourtant bien plus satisfaisant que ceux joueurs grassement payés, Jean-Louis Gasset s’est enfermés dans une optique qui aura fini de conduire le MHSC en deuxième division. Yaël Mouanga en réserve, alors qu’il est le défenseur central le moins inquiétant du groupe, du haut de ses 19 ans. La confiance sans cesse renouvelée à Jordan Ferri, hors de forme, ou Joris Chotard, mentalement absent depuis des semaines. Les louanges à sa majesté Téji Savanier, en dépit d’un comportement et d’un rendement loin d’être exemplaire. La volonté affichée avec fierté de remplacer Akor Adams, maladroit comme pas deux, par un Andy Delort aujourd’hui à des années lumières du niveau Ligue 1.

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Les écueils sont nombreux, et nous les regretterons même si le reproche de l’investissement, et de l’amour du club, au moins, ne pourront être porté au fils de l’un des fondateurs. Merci à lui d’avoir accepté cette mission, ce cadeau empoisonné. C’était trop compliqué, même pour Jean-Louis Gasset.