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·25 April 2025

Justice - Dimitri Payet sort du silence face aux graves accusations portées contre lui

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Mis en cause par une avocate brésilienne pour violences "physiques et psychologiques", Dimitri Payet a nié les faits lors de son audition à la police, le 16 avril dernier. Ce vendredi, le média brésilien Metropoles a livré les révélations de l'ex-international français.

Auditionné le 16 avril dernier par la police brésilienne au sein du DEAM (Delegacia de Atendimento à Mulher), Dimitri Payet a nié toute forme de violence physique ou psychologique à l’encontre de Larissa Ferrari, une avocate de 28 ans qui a porté plainte contre lui. L’ancien joueur de l’OM, aujourd’hui à Vasco de Gama, a toutefois confirmé avoir entretenu une relation extraconjugale avec la jeune femme, précisant qu’elle reposait sur des pratiques sadomasochistes consenties.


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Urine, robe de mariée...

Selon les déclarations relayées par le média brésilien Metropoles, Payet a expliqué avoir rencontré Ferrari via les réseaux sociaux. Dès les premiers échanges privés, elle lui aurait envoyé des vidéos intimes et abordé des sujets à caractère sexuel. Le joueur affirme que leur relation, autant virtuelle que physique, était fondée sur des pratiques sadomasochistes partagées et acceptées par les deux parties.

Parmi les éléments les plus marquants évoqués lors de son audition, Payet a reconnu un fétichisme autour de la robe de mariée, révélant avoir eu des rapports avec Ferrari lorsqu’elle en portait une. Il a également indiqué que l’avocate lui avait demandé "à plusieurs reprises" de lui uriner dessus. En janvier 2025, elle lui aurait même envoyé une vidéo dans laquelle elle "buvait spontanément sa propre urine et mettait sa tête dans les toilettes". D’après lui, cette pratique était "courante au sein du couple".

Payet nie les accusations de violences

Concernant les accusations de violences, le joueur affirme qu’elles s’inscrivaient dans le cadre de jeux sexuels consentis. Il explique ainsi que les traces visibles sur le corps de Ferrari provenaient de gifles sur les fesses qu’elle aurait demandées elle-même. Pour les marques sur ses jambes, Payet les attribue aux "endroits où se déroulaient les rapports, comme les chaises". Selon lui, la peau très claire de la victime laissait facilement apparaître des marques.

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