Patrice Lair : « On est parti sans rien demander. Personne ne pourra dire qu’on est les fossoyeurs de la Berrichonne » | OneFootball

« (Il coupe) Strictement rien. Le club peut nous dire merci ; avec Jaro, on est parti sans rien demander et je peux vous garantir que d’habitude, ça ne se passe pas comme ça. Personne ne pourra dire qu’on est les fossoyeurs de la Berrichonne. D’ailleurs, Michel Denisot lui-même m’a appelé pour me dire que c’était très classe de partir dans ces conditions. »

« Le Japon, pour les féminines. Mais partir là-bas, c’est non. Déjà que Châteauroux me paraissait loin de chez moi (rires). En fait, ma seule envie du moment, c’est de donner un coup de main à un petit club dans la région bordelaise. En N3. Ou alors des jeunes le mercredi après-midi. Faire profiter de mon expérience. Et si c’était quelque chose de très intéressant, je reparais avec Jaro car c’est quelqu’un que j’apprécie ; il est intègre et travailleur. Il est comme moi : ce n’est pas que l’équipe 1 qui nous intéresse, on s’intègre dans un projet global, on va voir la réserve, les U18, les jeunes, toutes les équipes de l’association. Comme on l’a fait à Châteauroux ».

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