Stade lavallois – Francis De Percin : « Mon rôle, c’est d’être force de proposition » | OneFootball

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·1 de abril de 2025

Stade lavallois – Francis De Percin : « Mon rôle, c’est d’être force de proposition »

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Si Laval a perdu un match important en Ligue 2 à Guingamp le week-end dernier et s’est éloigné du top 5, le club de football est en train de réaliser une saison intéressante pour la deuxième année de suite dans notre championnat. Figure discrète mais importante au sein du club, Francis De Percin est arrivé au club il y a bientôt deux ans pour épauler Olivier Frapolli. Coïcidence ou non, l’équipe s’est bien plus rapprochée du haut de tableau que de la zone rouge depuis sa venue en Mayenne…


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L’entraîneur adjoint des Tango est revenu dans une vidéo de SLTV sur un événement majeur de l’histoire récente du club : le maintien arraché à Amiens en 2023, alors qu’il était sur le banc d’en face. « On avait obtenu notre maintien la journée précédente et ce match devait être une fête. On a fait un match cohérent, on menait au score et Laval est revenu. On a une très grosse occasion juste avant le deuxième but de Laval, il y a eu un sauvetage incroyable sur la ligne. Derrière, Laval marque le but qui permet de gagner (et de se maintenir). Ce qui m’a frappé, c’est l’état d’esprit qui régnait au sein de cette équipe, au sein du club. J’ai senti une vraie unité qui m’a interpellée. Quand Laval m’a sollicité pour me faire rejoindre le club, j’avais cette envie de le découvrir de l’intérieur. »

Son rôle de bras droit au Stade lavallois

« Je me mets à la place de l’entraîneur et je me demande : quel rôle est-ce qu’il aimerait que son adjoint occupe ? Moi, je pense que notre rôle c’est d’être des forces de proposition. De ne pas dire à chaque fois « amen » à ce que le coach propose. On est là pour le faire douter, éveiller sa réflexion. Au moment où il prend sa décision, il faut être à fond derrière lui et le soutenir. Je veux surtout permettre à Olivier d’avoir davantage de recul sur les séances d’entraînement. Qu’il puisse observer son groupe, prendre les bonnes décisions. Je dois l’aider le jour du match sur des changements, sur les manières dont on peut influencer le match. C’est faire la passerelle entre le vestiaire et lui. De servir de filtre aussi entre ce que je peux lui faire remonter. Et lui éviter de s’embrouiller dans certaines prises de décision. »

Photo Dave Winter/FEP/Icon Sport

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