Ligue 1 - RC Lens - Stade Rennais : la direction de l'arbitrage se prononce sur un fait majeur du match | OneFootball

Ligue 1 - RC Lens - Stade Rennais : la direction de l'arbitrage se prononce sur un fait majeur du match | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: MadeInFOOT

MadeInFOOT

·18 mars 2025

Ligue 1 - RC Lens - Stade Rennais : la direction de l'arbitrage se prononce sur un fait majeur du match

Image de l'article :Ligue 1 - RC Lens - Stade Rennais : la direction de l'arbitrage se prononce sur un fait majeur du match

Dans son débrief de la 26ème journée publié ce mardi, la direction de l'arbitrage a conforté une décision de l'arbitre durant la rencontre entre le RC Lens et le Stade Rennais.

Alors que le RC Lens s'est imposé face au Stade Rennais (1-0, analyse et notes) samedi dernier, les Rennais ont fait part de leur désaccord contre certaines décision prises par Stéphanie Frappart, l'arbitre de la rencontre, au cours de la partie. "Je n’aime pas commenter ça, je trouve que les images sont très claires. J’ai des idées très claires quant à la situation du pénalty, mais Madame Frappart en a décidé autrement…", avait lâché Habib Beye à propos d'une faute sur Lorenz Assignon dans la surface lensoise.


Vidéos OneFootball


Mais c'est une autre situation qui a été revue par la direction de l'arbitrage dans son traditionnel débrief de la dernière journée de Ligue 1, publié ce mardi. L'instance a choisi de revenir sur le but refusé à Arnaud Kalimuendo à la 37ème minute de jeu pour une main de l'attaquant rennais.

Un but logiquement refusé

"Tout d'abord, aucune image ou plan de caméra n'exclut la possibilité que le ballon ait encore une partie qui surplomberait la ligne de but. L’arbitre vidéo a donc raison de considérer celui-ci comme étant en jeu immédiatement avant le but. D’autre part, l'analyse du contact entre le ballon et le bras est correcte : au regard de la loi 12, la main est sanctionnable car il existe un mouvement du bras vers le ballon, ce qui augmente artificiellement la surface couverte par le corps, sans qu’il soit la conséquence naturelle du mouvement de l’attaquant. L’envoi des images était bien attendu pour une modification de la décision initiale : le but devait donc être refusé", a commenté la direction de l'arbitrage.

À propos de Publisher