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·18 Maret 2025

« Dans son slip ? »... Le craquage de Véronique Rabiot sur le PSG

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Véronique Rabiot, la mère d'Adrien, ne digère pas les débordements en tribunes autour de PSGOM. Le club parisien est dans son viseur.

Ce dimanche, le Classique PSG-OM a pris une tournure particulière, bien au-delà du terrain. Adrien Rabiot, ancien joueur du PSG maintenant à l’OM, a été la cible d’une vague d’insultes et de banderoles offensantes lors du match. Cependant, c’est surtout sa mère et agente, Véronique Rabiot, qui a fait éclater sa colère après l'incident.


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Véronique Rabiot a fustigé la direction du PSG et son président Nasser Al-Khelaïfi, qu’elle accuse de laisser faire les débordements dans le stade. Dans une interview accordée à L’Équipe, elle a dénoncé l'inaction du club face à l’entrée des banderoles dans le virage Auteuil, arguant que le PSG était pleinement conscient de leur présence avant le match. Elle a lâché : « Pensez-vous qu’on peut faire entrer des banderoles de cette taille sans que personne ne soit au courant ? Il les a planquées où le gars ? Dans son slip ? Non ! Bien sûr que non ! ». Une accusation directe sur la gestion du club, qu’elle considère responsable de laisser passer de telles provocations.

La vigilance du PSG pointée du doigt

Elle poursuit, s’étonnant de la lenteur de la réaction des stadiers : « Quand elles sont sorties, je n’ai pas l’impression que les stadiers se soient précipités pour les faire retirer. Moi, il m’est arrivé de fumer dans un stade : immédiatement, on est venu me demander d’éteindre ma cigarette. » Un contraste évident, selon elle, avec la gestion de l’incident. Véronique Rabiot insiste sur le fait que le PSG aurait dû être plus vigilant, d’autant plus que le club est informé des règles sur les chants et les banderoles, en particulier sur les messages homophobes, qui auraient dû entraîner l'arrêt du match.

Mais c'est surtout la référence à son défunt mari, le père d'Adrien, qui a mis Véronique hors d’elle. « Le père de mes enfants est décédé depuis six ans, qu’est-ce que cela veut dire ? », lance-t-elle, écœurée par l'attaque personnelle. Le PSG, selon elle, a manqué de respect envers son fils et a laissé ses supporters franchir une limite. Pour elle, la situation dépasse largement les rivalités sportives : « Les supporters parisiens peuvent dire ce qu’ils veulent, ils ne le détourneront pas de son match. Mais cela touche des sujets qui ne devraient pas l’être. »

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